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Un mur de pluie avançait lentement au loin et le vent soufflait. Et ces quand j’installais ma tente que j’ai levé la tête, et que le monde m’a arrêté net. Quatre silhouettes, face au vent et immobiles. Elles semblaient observer le monde d'en haut. Ce monde qui disparaît tranquillement. Notre monde.